Un article dans le Devoir met en avant les incohérences de l'appellation biologique.
Tout a probablement commencé par le sirop biologique à saveur d'érable : est ce qu'avec l'appellation biologique les consommateurs sont ils prêts à consommer n'importe quoi ?
Pour justement éviter les dérapages, au Québec, l'Union Paysanne travaille sur un projet de programme de certification Paysanne et Bio-Paysanne. Certains fermiers du secteur biologique soulevaient qu’ils allaient beaucoup plus loin que la certification biologique elle-même, tandis que d’autres, provenant de l’agriculture traditionnelle, disaient ne pas être bio mais ne se qualifiaient pas non plus d’industriels.